La sécurité économique des femmes

Explorer de quelle façon un renouvellement des théories et des pratiques économiques et politiques peut contribuer au développement d’un projet démocratique de société et à la transformation des rapports sociaux de sexe.

Les critiques féministes du discours économique dominant et les nouvelles avenues de politiques sociales…

Couverture du recueil : La sécurité économique des femmes : les critiques féministes du discours économique dominant et les nouvelles avenues politiques sociales. Ce recueil de textes donne suite à un atelier tenu les 3 et 4 octobre 2002 à l’Université Laval, à Québec. Cet atelier était le troisième d’une série d’activités de réseautage ayant pour objectif d’explorer de quelle façon un renouvellement des théories et des pratiques économiques et politiques peut contribuer au développement d’un projet démocratique de société et à la transformation des rapports sociaux de sexe.

 

 

L’équipe responsable de cette mise en réseau subventionnée par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada pour 2000-2003 est formée des personnes suivantes :

    • Anita Caron, UQÀM, chercheuse principale
    • Nadine Goudreault, Relais-femmes, partenaire
    • Lucie Lamarche, UQÀM, coresponsable du colloque à Montréal, avril 2003
    • Marguerite Mendell, Université Concordia, coresponsable du colloque à Montréal, avril 2003
    • Sylvie Morel, Université Laval, responsable de l’atelier 3 à Québec, octobre 2002
    • Francine Saillant, Université Laval, responsable de l’atelier 2 à Québec, avril 2002
    • Nicole Thivierge, UQAR, coresponsable de l’atelier 1 à Chicoutimi, avril 2001
    • Marielle Tremblay, UQAC, coresponsable de l’atelier 1 à Chicoutimi, avril 2001
    • Louise Brossard, professionnelle de recherche, UQÀM

Date de publication : 2003

Lisez ce recueil dans son entièreté : La sécurité économique des femmes : les critiques féministes du discours économique dominant et les nouvelles avenues de politiques sociales

Je donne à Relais-femmes

$
Notez que nous n’offrons pas de reçu de charité.