Cette formation, développée par le Centre St-Pierre et Relais-femmes, vise à partager différentes stratégies de conciliation famille-travail-vie personnelle qui feront du milieu communautaire un secteur où il sera possible d'amorcer sa carrière professionnelle... Et d'y rester !
Comment peut-on enrayer le roulement de personnel pour préserver nos savoirs et nos expertises ?
Comment peut-on en faire un avantage concurrentiel dans notre secteur afin de faire face à la pénurie de main-d’œuvre ?
Objectifs de la formation ?
- Comprendre les différents enjeux entourant la conciliation ;
- Identifier les bonnes pratiques en matière de conciliation travail-famille-vie personnelle ;
- Analyser son propre contexte organisationnel ;
- Expérimenter l'implantation ou la bonification des mesures de conciliation travail-famille-vie personnelle dans son contexte de travail...
***Bonus*** Un accompagnement gratuit d'une durée de 6 heures est offert aux groupes participants afin de poursuivre cette réflexion au sein de leur organisation.
À qui s'adresse la formation ?
• les employé.es ;
• les gestionnaires ;
• les administratrices et administrateurs...
Quand ? (2 choix)
• Jeudi 19 mars 2020, de 9h à 16h | Tarif : 20$ (incluant le dîner)
OU
• Les jeudis 26 mars et 2 avril 2020, de 17h à 20h | Tarif : 40 $ (incluant 2 soupers)
Lieu de la formation ?
La Maison Parent-Roback
469, rue Jean-Talon Ouest - Salle 113
Montréal (QC) H3N 1R4
Pour vous inscrire : https://bit.ly/formation_conciliation
Et pour toutes informations : Audrey Bernard, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., (514) 878-1212 #1309
Autrefois définies exclusivement comme des épouses, des mères et des ménagères, les femmes aînées d’aujourd’hui appartiennent à la génération de celles qui ont ouvert de multiples portes aux générations suivantes. Dans la foulée de la Révolution tranquille, les transformations sociales ont été nombreuses, ce qui a complètement bouleversé les trajectoires des femmes. C’est notamment leur participation massive à la sphère publique et au marché du travail dès les années 60 qui a contribué à changer leurs expériences de vie et, forcément, les contextes de vieillissement.
Quelques jours avant la St-Valentin, Relais-femmes, les Éditions du remue-ménage, les Productions mainslibres et l'INRS vous invitent au lancement de l'espace web www.amour-et-argent.ca et du documentaire "Amour et argent peuvent faire bon ménage" réalisé par Sophie Bissonnette avec la collaboration de la Fédération des associations de familles monoparentales et recomposées du Québec (FAFMRQ) et le soutien financier du Fonds pour l'éducation et la saine gouvernance de l'Autorité des marchés financiers ...
Lieu: La Cinémathèque Québécoise 335, boul. De Maisonneuve Est
La formation à distance Le conflit : frein à l'apprentissage ou levier de changement vise à outiller les organismes d'action communautaire autonome (OACA) pour bien comprendre les types de conflit et les pistes de solution pour y faire face afin que les conflits deviennent des leviers de changement et d'apprentissage pour les OACA et les individus.
Durée : 3h - WEBINAIRE
Tarif : gratuit
Optionnel : 1 heure d'accompagnement téléphonique au tarif de 85$
Date : à venir en novembre 2018
Pour vous inscrire : merci de compléter le formulaire.
Lieu: Maison Parent-Roback, 469 rue Jean-Talon Ouest, salle 101, Montréal (Qc) H3N 1R4
Pour toutes questions, n'hésitez pas à nous contacter :
Documentaire: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
« Le décrochage scolaire des garçons est souvent abordé dans les médias et la sphère publique et de nombreuses idées reçues circulent à ce propos . Aussi, l'échec des garçons et la réussite des filles sont souvent opposés. En parlant uniquement de l'échec des garçons, on oublie les garçons qui réussissent mais aussi l'échec des filles . En effet, le sort des filles laisse plutôt indifférent alors qu'elles sont aussi touchées par le phénomène et sont plus désavantagées que les garçons dans leurs parcours socio-économiques.»1